[RP] Une vengance qui ne guérit rien

(bon ben voilà le Festival de truc mais en remixer et terminer )

Il est une coutume en Eckmöl, une fois tous les ans d'offrir au peuples nains et autres de la citée naine un magnifique combat dans l'arène. Voici l'un de ces combats.

Partie I
Un grand bruit ! Des coup de maillets sur une poutre. Le sable et la poussière qui se répandent dans l'air. La poutre tombe. Les lourdes portes, à présent déverrouillées, peuvent être ouverte. Plusieurs nain à la carrure imposante tirent sur les lourdes chaînes. Les portes s'entre ouvrent de quelques centimètres ; puis, peu à peu, de plus en plus. Enfin, les lourdes portes de l'Arène sont enfin ouverte.

Il n'y à personne dans l'Arène. elle est vide mais bientôt les combattant entreront et feront preuve de leur talent.

Une anti-chambre. Une petite cellule avec pour seul mobilier un râtelier ou sont ranger des haches, des hallebardes, des marteaux de guerres. Pour autre mobilier, un mannequin. Sur ce mannequin une armure repose. Cette armure est polie et brillante, de très bonne facture et portant les armoiries de la famille royale d'Eckmöl. Baramir s'avance, il enfile sa magnifique armure de Mythrill. C'est le prince de la Cité et son armure le dit clairement. Il s'avança vers son armure et la revêtit. Il s'avança ensuite vers un râtelier, choisit un marteau léger puis une petite haches. Le sang allait couler et les combattants périr sur le champ d'honneur. Le Grand Festival avait lui tout les dix ans, cette année, Baramir était bien décider à en ressortir seul vainqueur.

Un long tunnel sombre. Plusieurs portes sur les murs humide de ce long couloir. Une lumière apparaît au bout du couloir. Baramir s'avance doucement vers cette lumière.

Une clameur acclame les guerriers arriver dans l'Arène. Les 48 portes de l'Arène étaient à présent ouverte et les combattant faisaient leur entrer. Combattant de toutes races, de toutes cultures et de tous but.

Baramir avança lentement vers la sortie du long tunnel obscur. Puis, de plus en plus vite il s'avance. Enfin il court, il se rue vers la sortie de ce tunnel. Enfin il arrive au coeur de l'Arène.

Une corne sonne ! Le début des combats était lancé !!

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*PARTIE II*
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Baramir regarda autour de lui. Il se trouvait à la première porte de l'immense Arène d'Eckmöl où avait lié ce grand combat. De grands guerriers, venus de toutes les terres de Daifen étaient venus pour montrer leur talent et leur savoir faire. Mais il n'y aurait qu'un seul vainqueur ! Un seul sera sacré champion d'Eckmöl et Baramir était bien décidé à ce que ce titre lui revienne. Il leva la tête vers les gradins. Beaucoup de spectateurs s'étaient entassés dans les gradins de la majestueuse Arène pour venir assister à tous ces combats. Il n'y avait absolument aucune règle mais il était de bon usage de ne pas tuer ces adversaires simplement de les blesser suffisamment pour qu'ils abandonnent ou simplement de leur mettre un bon coup sur le crane pour qu'ils se réveillent quand le tournoi sera finit. Un autre usage était de ne pas viser ou attaquer les soigneurs et les personnes chargées de l'évacuation et des soins des blessés.

Une fois ces règles bien remises en tête, Baramir marcha lentement, après être arrivé en courant il était à présent en garde. Cherchant un adversaire. Le tout premier adversaire qui vint se présenter à lui était un Gobelin chevauchant un Squig. Baramir eu une envie irrésistible de rire mais se retint. Il esquiva la première charge en ne manquant pas d'asséner un coup de marteau sur la tête du Squig, qui mordit la poussière. Le Gobelin fut éjecté du squig qu'il chevauchait et, vert de rage, se rua sur Baramir pour venger sa monture bien aimée. Baramir para son étrange arme, qui ressemblait à une épée courbe avec le manche de son marteau, et se recula pour déséquilibrer son adversaire avant de lui ouvrir le flanc de sa hache. Le Gobelin tomba a terre, se fut le premier combattant à tomber.

Baramir était en train d'essuyer ses armes alors qu'un monstrueux guerrier orc avec une étrange arme s'apparentant à un immense marteau à deux mains. Baramir roula à terre pour esquiver l'assaut et se redressa tant bien que mal alors que son adversaire armait un second coup. Baramir se jeta a terre en sa direction et frappa dans le mollet de son adversaire. Maintenant il ne pourra pas frapper avec un mollet entaillé. Mais malgré cela l'orc continua de préparer son second coup. Alors qu'il allait frapper, il fut assommer par l'arrière par un jeune nain.

Baramir, remercia son second qu'il avait reconnu mais maintenant, il leur faudrait s'affronter. Baramir regarda alors autour de lui pour voir des combats acharné. Il jeta son regard vers la tribune d'arbitrage pour savoir combien de personne avait déjà mordu la poussière. Au bout d'à peine une heure de combat féroce, 16 personnes avaient déjà été évacué de l'Arène.

Baramir se mit en garde. il savait exactement comment se battait son second et lui également, car ils étaient professeur et élève. Baramir lui avait appris à se battre et il se demanda qui de l'élève ou du maître allait l'emporter à présent que leurs niveaux de maîtrise du combat était égal. Baramir tenta une feinte avec sa hache pour frapper du marteau dans le ventre de Dlogan (son disciple) mais celui-ci réussit à esquiver le coup, qui fut porté tout de même. L'armure encaissa une partie du choc mais Dlogan fut obligé de reculer de quelques pas pour pouvoir rester debout. Sans lui laisser le temps de souffler Baramir se jeta sur lui, le ceintura et le fit tomber à terre. Dlogan ne s'attendait sûrement pas à cela car il parut totalement décontenancé par l'attitude de son chef. Baramir, savait que son armure et son propre poids empêcheraient Dlogan de se relever. Celui-ci leva ses armes pour tenter des attaques mais Baramir lui décocha un tel crochet du droit que le nain sombra dans un sommeil profond.
Baramir regarda son poing : il était rouge. il était quand même costaud le second mais Baramir avait déjà identifié le combattant avec qui il voudrait livrer le plus beau des combats. Le champion du dernier festival.

Baramir secoua son poing pour laisser disparaître la douleur puis courrut dans l'Arène à la recherche d'autres victimes. Plus le temps passait et plus le moment du combat final approchait. Baramir faisait en sorte de gagner ses combats le plus rapidement possible afin de s'économiser pour cette finale. Il parait toutes les attaques et frappait en un minimum de coups. Il surveillait toujours la tribune pour savoir le nombre de combattant qui le séparait de Maloin-Thor, le plus grand rival que Baramir est jamais connu. Celui-ci avait commis de nombreux crimes pour voler quelque pièces d'or. C'était une honte pour la citée entière. Mais surtout, Baramir lui en voulait d'avoir tuer son jeune frère.

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*Partie III*
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Enfin le moment qu'il attendait tant fut venu. Il vit sur la tribune des juges arbitres qu'il ne restait plus que deux combattants encore en course pour le titre de champion. Il sut tout de suite que son rival était arriver en final, qui d'autre pourrait faire ça ? Cette pensée réjouit Baramir et lui tira un petit sourire. Il s'avança au centre de l'arène, récupérant au passage un bouclier d'acier qui traînait. Il l'examina quelques instants et sut tout de suite qu'il n'était pas de bonne facture mais qu'importe, ça ferait bien l'affaire. Il avança encore de quelques pas ; une silhouette se dessina de plus en plus nettement devant lui. C'était bien sur Maloin qui l'attendait. Le jour tombait et on alluma des torches tout autour de l'arène afin de pouvoir voir le combat. Baramir fit encore quelques pas. Il se figea hors de porté de son adversaire, qui était, lui aussi, hors de portée de Baramir.

« Tu sais pourquoi je suis ici ? Tu ne quitteras cette arène que pour retrouver tes ancêtres !! Je ne t'épargnerais pas. Tu as tuer mon frère en bafouant les règles de ce tournois millénaire, alors je ferais de même. » Baramir avait parlé d'un calme, il était résolu et serein, rien ne le détournerait de son but.
_ « Bien Fils d'Eckmöl ! Je n'en attendais pas moins de toi. Si tu tombes aujourd'hui, ta citée deviendra mienne !! HAHAHA !!
_ Tu peux toujours parler et rêver, jamais tu ne gagneras. »

A peine le dernier son sortit de la bouche de Baramir, celui-ci se rua sur son adversaire, qui fut surpris et déséquilibré par la sauvagerie de Baramir. Ce dernier frappa avec son bouclier le visage de son adversaire qui fut sonner et Baramir en profita pour tenter de lui trancher la tête. Malheureusement pour lui, Maloin avait anticipé et il avait bloquer le bras de Baramir avec sa main. La force du coup de Baramir fit plier le bras de son adversaire, mais pas suffisamment pour que celui-ci plie. Maloin tenta alors de frapper Baramir, qui para avec son bouclier, tout en dégageant son bras. Il se remit en garde et Maloin en fit de même. Le premier assaut porter avait été infructueux mais les deux combattants étant de grande envergure, il n'aurait pu en être autrement.
Cette fois-ci, ce fut Maloin qui frappa en premier. Il lança une hache de lancer sur Baramir puis se rua sur lui. Baramir rattrapa la hache au vol et la renvoya sur Maloin. Sa hache lui effleura le visage et un filet de sang commença a perler le long de sa joue vers sa barbe noir poisseuse. Baramir vit son adversaire se ruer sur lui et jeta son bouclier dans les jambes de son compétiteur qui s'entrava et tomba. Baramir lança sa propre hache de lancer sur son rival déjà à terre mais celui-ci avait rouler sur le côté pour esquiver l'assaut. Baramir pesta. Maloin toujours à terre et peinant à se relever avec sa lourde armure ne vit pas Baramir se ruer sur lui, ou s'il le vit, il ne pu rien faire. Baramir se jeta sur son plus grand rival et s'assit sur son torse, comme il l'avait déjà fait avec Dlogan. Maloin tenta de se relever mais Baramir lui conseilla de ne pas bouger à l'aide d'un magnifique coup de tête. Baramir était tellement aveugler par la soif de vengeance qu'il ne sentait pas la douleur. Le combat allait s'achever. Il aurait du y avoir plus de coup porter, mais Maloin était décidément bien faible depuis qu'il avait affronter le jeune frère de Baramir.

« Cette fois-ci, tu va payer tes crimes. Tu as déjà fait couler trop de sang, le tient sera le dernier que tu verra ! » Les paroles de Baramir étaient claires et sans appel. Il était fermement décidé à tuer, et il tuerai.
_ « Bien jouer, je n'ai rien pu faire. Tu es plus fort que ton frère on dirait. Nous nous retrouverons sur l'autre rive Baramir, et je prendrait revanche.
_Mon frère était jeune et tu l'as tué. Il n'avait pas autant d'expérience et tu l'as tué. Tu as tuer le Prince de ma Cité et tu va payer. Quand à ce qui est de ta vengeance, tant de combat d'attende déjà sur l'autre rive. »


Baramir plaça sa hache au dessus du coup de son adversaire. Un main vers le ciel tenant le manche, une main vers le sol, proche de la tête. Dans un seul mouvement de bras, Baramir en avait finit avec ces vieux démons et son plus vieil ennemie. Les yeux de Baramir était humide et des larmes coulaient le long de ses joues. Il avait venger son frère, mais la douleur était toujours là. Plus jamais ce nain sans tête nierait à la citée, mais la peine qu'il avait causer, restait là, elle.