I : drôle de noirceur
Il y avait déjà de nombreuses lunes que ce triste continent avait vu son sol foulé par les seigneurs en quête de nouvelles terres à rapporter, soit à leur propre ambition, soit à leur confrérie ou autre. C'est donc comme cela que Baramir c'est retrouver sur cette terre désolé ou d'étranges phénomènes se passent. Mais tout d'abord, revenons quelques lunes en arrière.
C'était sur un triste voilier, battant le pavillon de Khazad que Baramir, ainsi que son frère d'arme, avaient fait route pour ce continent. C'était un simple voilier, ni trop grand, ni trop étroit. Baramir était plutôt habitué à ce genre d'embarcations, depuis le temps qu'il combattait sur les terres de Daifen, il avait beaucoup naviguer, soit sur le radeau, soit sur ces petits voiliers. Mais cette fois-ci, c'était assez différent des autre fois où Baramir était partit en campagne. Cette fois-ci, l'humeur n'était pas aussi joyeuse que les autres fois. Même le voilier était plus sombre, plus terne que les autres fois. Le ciel était sombre alors que la mer était calme, les oiseaux volaient dans le ciel mais ils restaient silencieux.
Après quelques jours de voyage en mer, dans cette même ambiance terne et morne, cette atmosphère pesante et étrange, la terre apparut enfin à l'horizon. Baramir accosta le navire doucement puis débarqua. Baramir partit de son côté, laissant son frère d'arme sur la plage et chacun d'eux partirent dans une direction différente. Baramir alla établir son campement, et l'atmosphère qui l'avait déjà suivit s'était encore amplifier à son arrivé sur le continent. Et si s'était le continent qui engendrait cette atmosphère ? En tout cas, des choses étranges allaient se passer sur ce continent, ça, Baramir en était certain.
Il établit donc son campement, entraînant des troupes et explorant la région, jours après jours. Mais quelque chose clochait; Tout était trop noir et trop sombre. Les seuls oiseaux qui étaient présent sur cette terre désolée étaient de gros corbeaux, ou alors de salles bestioles avec des grandes ailles et un long cou. Tous cela ne présageait rien de bon en tout cas, et ça, Baramir en était sur !!
Mer 4 Avr à 16:56