Non, mais c'est pas possible de voir ça. Être obliger de prendre un foutu radeau pour aller débarquer sur un continent. Oui, parfaitement, pour aller débarquer. Je dis bien débarquer. Normalement, on prend un radeau lorsqu'on viens de se faire poutrer et qu'on rentre, la tête basse chez les siens ; pas lorsqu'on arrive fièrement pour conquérir un continent. Enfin bon, quoi qu'il en était, puisque Baramir n'avait pas retrouver le petit voilier qui l'avait conduit sur PremierCercledhil -qu'il n'aurait pas repris de toute façon, il était trop sombrement bizarre- ni même trouver une quelconque embarcation autre qu'un radeau pour partir de PremierCercledhil, il avait été obliger de prendre un radeau. Barf, de toute façon, l'important c'est d'arrivé non ?
Mais vous vous poser peut-être une question. Que fait l'un des chefs d'Amon Khazad sur un radeau, ayant quitter son royaume et se dirigeant, plus ou moins fièrement, enfin le plus fièrement possible sur un radeau, pour partir conquérir un nouveau continent ? Et bien la réponse en est toute simple. Lorsqu'on reçoit une invitation, ou plutôt lorsqu'on entend que deux continents on été découverts et qu'il sont tous prêts à être pacifier, que ces continents occupent une situation géographique idéale, vous comprendrez bien qu'on est obligé d'y aller, pour voir de ses propres yeux de tels continents. Un autre petit détail avait motivé Baramir pour laisser son royaume de PremierCercledhil à son intendant et de partir en conquête de nouvelles terres sur ses continents mystérieux, était tout simplement que trop de chose bizarre ce passaient sur ce continent.
Revenons en donc, après ce petit rappel historique, à Baramir son radeau. Cela faisait déjà plusieurs jours qu'il naviguait, seul, au beau milieu de l'océan immense et désert sans voir le moindre bout de terre pointer le bout de son continent. Heureusement que pour survire il avait penser à prendre dans son balluchon, le quitte de survie du nain des mers, en mer : les rations de survie : constituées de quelques bouts de pain et de vieux fromages, plusieurs litre de bière dans des petit tonneaux de secours, complètement imperméables, pour permettre une meilleur conservation du précieux liquide. Une bouée canard, ou autre forme d'animaux ridicule, quelques torches au cuivre pour produire une fumée verte en cas de détresse, la canne à pèche, pour pouvoir se nourrir durant de voyage et évidemment quelques numéros hors série de BNC.
C'est donc alors qu'il était en train de vaquer à son occupation principale lorsqu'il voyageait, feuilleté les BNC de son kit de survie bien sûr , que Baramir aperçut enfin deux petits points noirs se dessiner à l'horizon. Et plus il avançait, plus ils grossissaient. Était-ce donc ça les continent jumeaux que tous le monde désirait voir ? Quoi qu'il en soit, il y avait en face de lui, a quelques coups de rame, ou coup de vent dans la voile du radeau, deux continents séparés seulement par un doigt de mer.
Baramir accosta donc sur l'un des deux continents et tira son radeau sur la plage. Apparemment il avait réussit à débarquer dans un coin pas trop peuplé. Il avança donc prudemment, pour explorer les environs lorsqu'il trouva alors une petite ville qui semblait bien animée. Il s'y rendit donc et vit que quelqu'un l'attendait à l'entrée de la ville. C'était un humain, apparemment, plutôt jeune, mais assez vieux pour avoir un début de barbe. Il tenait à la main un rouleau de parchemin qu'il déplia et se dirigea vers Baramir :
_ « Vous êtes le sieur Baramir ?
_Ben faut croire, mais comment connaissez-vous mon nom ?
_C'est tout simple, c'est écrit ici, là !! Vous voyer ? Sur ma liste !!
_C'est bon, c'est bon. Du calme ! Et alors, qu'est-ce que ça fait que je soit Baramir ?
_Ben cette ville et ses provinces alentours seront sous votre responsabilité. Votre partenaire de l'île voisine vous enverra des serviettes sales qu'il vous faudra laver et ensuite vous devrez les lui renvoyées, mouillées, pour qu'il les fasse séchées. Mais si l'un de vous deux périt, alors le commerce s'arrête là et l'autre cité périra aussi.
_Hein ? Mais c'est quoi cette histoire ? Mouais, bon passons. Et qui est mon « partenaire » »
C'est à ce moment là que le jeune homme, qui portait le nom de Lavomatix montra le parchemin à Baramir. Celui là eu un petit rire puis repartit avec Lavomatix pour faire le tour de la ville. Il lui présenta tous ces meilleurs expert en nettoyage de serviettes, et même à basse température : il y avait un vieille orc à la moustache étrange que l'on surnommait « Le Chat », il y avait une jolie elfe, qui se révéla être un homme qui portait le nom d'Ariel et il y avait même un nain au bottes trouées et remplit d'eau qui faisait l'étrange bruit de « Skouip » quand il marchait. Baramir alla donc faire un tour à l'hôtel de ville, ses nouveaux quartiers, pour se reposer après son voyage fatiguant.
A SUIVRE
Mer 4 Avr à 16:57